Serge Opillard


1970 :
Arrive à Villeneuve de Marsan auprès de Jean Darroze
1974 :
Sommelier de la Maison Darroze à Langon
1981 :
Ouvre son établissement Le Grand Gousier
2000 :
Revient chez Claude Darroze
2014 :
Prend sa retraite
BIOGRAPHIE
Sommelier
Certaines carrières ont le parfum des héritages familiaux. C’est le cas de Serge Orpillard, qui s’est passionné très tôt pour « le nectar des dieux », bien avant que la mention “sommellerie” ne figure dans les cursus. C’est auprès d’une véritable dynastie de la gastronomie qu’il fait ses premiers pas : Jean Darroze, à Villeneuve-de-Marsan, l’accueille pour gérer la cave de son restaurant, « l’une des plus belles […] de France », dit-on. Puis il poursuit son parcours auprès de Francis Darroze, avant de rejoindre un autre membre de la famille, Claude, dans son établissement à Langon.
Il y aura bien une parenthèse professionnelle à Millau, mais pour Serge, ce sont les aventures humaines et gastronomiques qui donnent toute sa saveur à son parcours. Il évoque avec gratitude la famille Darroze bien sûr, mais aussi des figures comme Raymond Oliver ou Pierre Coste, qu’il considère comme des mentors.
Au début des années 80, il décide de voler de ses propres ailes et ouvre son propre établissement, à la fois restaurant et bar de nuit. Il y organise chaque mois de grandes dégustations de vins, devenues légendaires dans la mémoire langonnaise.
Mais l’appel des racines est plus fort. À l’aube des années 2000, il revient aux côtés de Claude Darroze pour accompagner les premiers pas de Jean-Charles, le fils, au sein de la Maison.
Aujourd’hui officiellement à la retraite, il partage désormais des parties de cartes avec Claude — mais il n’a rien perdu de sa passion pour le vin. On peut encore le croiser à Langon, prodiguant ses conseils dans une cave, animant des master classes dans les villes jumelées à Bordeaux, ou encore faisant passer des examens pour le CAFA. Une passion jamais bouchonnée.
Certaines carrières ont le parfum des héritages familiaux. C’est le cas de Serge Orpillard, qui s’est passionné très tôt pour « le nectar des dieux », bien avant que la mention “sommellerie” ne figure dans les cursus. C’est auprès d’une véritable dynastie de la gastronomie qu’il fait ses premiers pas : Jean Darroze, à Villeneuve-de-Marsan, l’accueille pour gérer la cave de son restaurant, « l’une des plus belles […] de France », dit-on. Puis il poursuit son parcours auprès de Francis Darroze, avant de rejoindre un autre membre de la famille, Claude, dans son établissement à Langon.
Il y aura bien une parenthèse professionnelle à Millau, mais pour Serge, ce sont les aventures humaines et gastronomiques qui donnent toute sa saveur à son parcours. Il évoque avec gratitude la famille Darroze bien sûr, mais aussi des figures comme Raymond Oliver ou Pierre Coste, qu’il considère comme des mentors.
Au début des années 80, il décide de voler de ses propres ailes et ouvre son propre établissement, à la fois restaurant et bar de nuit. Il y organise chaque mois de grandes dégustations de vins, devenues légendaires dans la mémoire langonnaise.
Mais l’appel des racines est plus fort. À l’aube des années 2000, il revient aux côtés de Claude Darroze pour accompagner les premiers pas de Jean-Charles, le fils, au sein de la Maison.
Aujourd’hui officiellement à la retraite, il partage désormais des parties de cartes avec Claude — mais il n’a rien perdu de sa passion pour le vin. On peut encore le croiser à Langon, prodiguant ses conseils dans une cave, animant des master classes dans les villes jumelées à Bordeaux, ou encore faisant passer des examens pour le CAFA. Une passion jamais bouchonnée.