Christopher Coutanceau


1997 :
Equipe de France de cuisine pour les Olympiades Culinaires
1998 :
Premier poste de cuisinier chez Richard Coutanceau
2000 :
Crée avec son frère le restaurant le Vieux Port à la Rochelle
2002 :
Chef de cuisine du restaurant Richard Coutanceau
2007 :
En devient directeur
Chef Cuisinier
Rencontrer
Christopher Coutanceau
La Maison Coutanceau
Plage de la Concurrence
17000
La Rochelle
05 46 41 48 19
BIOGRAPHIE
Chef étoilé (2 étoiles) – Christopher COUTANCEAU
Être né sous une bonne étoile pourrait être le mantra du chef. Celles de son père avec qui il travaille dès 1998, puis en 2002 en tant que chef avant d’en devenir en plus le directeur en 2007, conservant précieusement ces belles récompenses. Tout son chemin était d’ailleurs pavé d’étoiles, depuis Eugénie Les Bains, le Grand Véfour, El Bulli, chez Joël Robuchon…
Pourtant il semblerait que pour le cuisiner pêcheur ce ne soit pas la course aux récompenses qui l’anime, mais les produits, la nature et le plus grand respect de ceux-ci. Il ne pourrait pas envisager sa cuisine, exclusivement iodée, sans connaître l’art de la pêche et les règles pour la bien faire. Alors quand il n’est pas derrière ses fourneaux il est sur son bateau. Et quand il ne répond pas aux interviews des magazines gastronomiques il milite auprès de l’association Bloom pour le bien consommer et le bien pêcher. On ne saurait que féliciter ses prises de positions, sa voix haute et sans concessions, car il est un des rares à rappeler l’imminence d’une véritable catastrophe écologique alors que nous aurions pu l’éviter. On peut briller à la lumière des étoiles mais sans oublier la part d’ombre de la détérioration de nos ressources. En cela il n’est pas oiseau de mauvais augure mais lanceur d’alerte.
Être né sous une bonne étoile pourrait être le mantra du chef. Celles de son père avec qui il travaille dès 1998, puis en 2002 en tant que chef avant d’en devenir en plus le directeur en 2007, conservant précieusement ces belles récompenses. Tout son chemin était d’ailleurs pavé d’étoiles, depuis Eugénie Les Bains, le Grand Véfour, El Bulli, chez Joël Robuchon…
Pourtant il semblerait que pour le cuisiner pêcheur ce ne soit pas la course aux récompenses qui l’anime, mais les produits, la nature et le plus grand respect de ceux-ci. Il ne pourrait pas envisager sa cuisine, exclusivement iodée, sans connaître l’art de la pêche et les règles pour la bien faire. Alors quand il n’est pas derrière ses fourneaux il est sur son bateau. Et quand il ne répond pas aux interviews des magazines gastronomiques il milite auprès de l’association Bloom pour le bien consommer et le bien pêcher. On ne saurait que féliciter ses prises de positions, sa voix haute et sans concessions, car il est un des rares à rappeler l’imminence d’une véritable catastrophe écologique alors que nous aurions pu l’éviter. On peut briller à la lumière des étoiles mais sans oublier la part d’ombre de la détérioration de nos ressources. En cela il n’est pas oiseau de mauvais augure mais lanceur d’alerte.