Christian Etchebest


1998 :
Ouverture de son premier bistrot « Le Troquet » (fermé)
2008 :
La Cantine du Troquet Pernety
2012 :
La Cantine du Troquet Dupleix
2015 :
La Cantine du Troquet Daguerre et Cherche-Midi (fermé)
2016 :
La Cantine du Troquet Rungis
2017 :
La Cantine du Troquet Bayen (fermé) - La Cantine de la Section à Pau
Chef Cuisinier
Rencontrer
Christian Etchebest
La Cantine de la Section
4 Rue du Bataillon de Joinville
64320
Bizanos
05 59 33 71 79
BIOGRAPHIE
Brèves de troquet
Échanger avec le Christian Etchebest, c’est parler de lecture, de rugby, de photographies, de voyages, d’amitié, de sport, de fêtes et un peu de cuisine. Car avant d’être un chef il est un homme ; avec de belles valeurs et une vraie chaleur. Du lundi au dimanche, il est chaque jour sur le pont, entouré de ses quatre-vingt collaborateurs. Il confesse un « métier de besogneux ». Tous les jours au travail, car il multiplie les établissements et les projets comme d’autres augmentent le nombre de petits pains. Il veut de la sincérité, du vrai, de la générosité. Il veut du respect, respect des hommes et respect des produits. Aujourd’hui il a cinq cantines dans Paris, une à Rungis et une à Pau. Il aurait pu en avoir vingt ou trente partout en France mais comme il n’a pas trouvé les bonnes personnes avec qui s’associer il garde ce mantra de qualité versus quantité. Même s’il a fait de grandes maisons, ce n’est pas ce vers quoi il tend, jamais il ne fera la course aux étoiles. Cela fait « 21 ans qu[il] fai[t] de la bistronomie » et qu’il tient à faire « une cuisine accessible ». Il aime que ses clients lui disent qu’il fait une cuisine lisible simple. Il faut ne jamais oublier que ce qui fait un bon repas en plus du produit c’est le contexte.
Échanger avec le Christian Etchebest, c’est parler de lecture, de rugby, de photographies, de voyages, d’amitié, de sport, de fêtes et un peu de cuisine. Car avant d’être un chef il est un homme ; avec de belles valeurs et une vraie chaleur. Du lundi au dimanche, il est chaque jour sur le pont, entouré de ses quatre-vingt collaborateurs. Il confesse un « métier de besogneux ». Tous les jours au travail, car il multiplie les établissements et les projets comme d’autres augmentent le nombre de petits pains. Il veut de la sincérité, du vrai, de la générosité. Il veut du respect, respect des hommes et respect des produits. Aujourd’hui il a cinq cantines dans Paris, une à Rungis et une à Pau. Il aurait pu en avoir vingt ou trente partout en France mais comme il n’a pas trouvé les bonnes personnes avec qui s’associer il garde ce mantra de qualité versus quantité. Même s’il a fait de grandes maisons, ce n’est pas ce vers quoi il tend, jamais il ne fera la course aux étoiles. Cela fait « 21 ans qu[il] fai[t] de la bistronomie » et qu’il tient à faire « une cuisine accessible ». Il aime que ses clients lui disent qu’il fait une cuisine lisible simple. Il faut ne jamais oublier que ce qui fait un bon repas en plus du produit c’est le contexte.